L'histoire Argenta de Freddy

Depuis combien de temps êtes-vous Argentien ?

« J'ai débuté chez Argenta le 1^er mars 1985. 'Au 142-144 de la Belgiëlei', comme on disait à l'époque. J'entrerai donc bientôt dans ma 39^e année. »

Qu'est-ce qui fait de vous un véritable Argentien ?

« En fait, on ne naît pas Argentien, on le devient, chaque jour un peu plus. Je suis toujours parti du principe : restons pragmatiques et au boulot. On s'attelle à notre tâche et c'est parti. Je pense que c'est un peu ce que chaque Argentien a dans le sang. »

Quel « moment Argenta » vous a valu votre plus gros fou rire ?

Il y a longtemps, lorsque j'étais encore directeur régional pour le Limbourg et le Brabant flamand, je partais sur les routes avec l'agent de Saint-Trond. En prospection, nous rendions visite aux clients. Et nous sommes arrivés chez un fruiticulteur. Je suis entré et me suis présenté : 'Argenta Banque d'Épargne, votre pomme pour la soif'. Il n'avait pas entendu le mot « banque d'épargne ». Par contre, il avait bien entendu la « pomme pour la soif ». Et il a cru que je venais lui louer des frigos du marché de gros pour les fruits. Je lui ai expliqué que nous étions une banque d'épargne, pas un marché de gros pour les fruits. Par la suite, j'ai évidemment réussi à le gagner comme client. Nous avions brisé la glace et à l'agence, nous avons bien ri de cette histoire avec ce monsieur. »

Quel « souvenir Argenta » vous tient le plus à cœur ?

« Je pense surtout à un moment en particulier et j'ai la chair de poule rien qu'en y repensant. Un jour, il y a eu une fête chez Argenta au cours de laquelle dix personnes devaient être mises à l'honneur. Mais nous ne savions pas qui. À un moment donné, ces personnes ont été appelées et, apparemment, j'en faisais partie. Nous étions mis à l'honneur car cette année-là, nous avions représenté quelque chose pour Argenta. Nous avons reçu une pomme en or en guise de souvenir. Lorsque je suis descendu du podium, plusieurs collègues se sont adressés à moi et m'ont dit que je méritais cette mise à l'honneur. On s'en rappelle toute sa vie. »

Quelle est votre chanson argentienne préférée ?

« Dans le cadre d'un projet de décentralisation de l'administration, j'étais directeur régional des agences hors capitale pour le Limbourg et le Brabant flamand, au centre administratif régional de Hasselt. Pour de nombreux collaborateurs, cette décentralisation représentait un véritable changement. Nous avons alors décidé de passer tous les jours la chanson ‘Sur le toit du monde’ de Dana Winner. De cette manière, nous commencions toujours la journée dans la joie, l'enthousiasme et l'optimisme. Certains font le salut au drapeau tous les matins, et nous, nous écoutions Dana Winner. »

Quel conseil donneriez-vous aux futurs Argentiens ?

« Nous sommes une famille. Nous prenons soin les uns des autres. Et si quelque chose échoue, ne vous découragez pas. Ça ira mieux la prochaine fois. C'est à ça que sert une famille. »